Pour connaître la disponibilité d’une œuvre contactez le service des affaires culturelles de la ville du Kremlin-Bicêtre par courriel à artotheque@ville-kremlin-bicetre.fr
Photographe amateur, Nicolas Pecqueux aime observer et immortaliser le monde qui l’entoure, sa beauté, ses mystères et ses incohérences.
Il apprécie tout particulièrement les grands espaces, vides de préférence, mais affectionne également les paysages urbains dans toute leur complexité.
Cette photographie a été prise dans une rue de Prague en République tchèque, dans le quartier du Château.
Photographe amateur, Nicolas Pecqueux aime observer et immortaliser le monde qui l’entoure, sa beauté, ses mystères et ses incohérences.
Il apprécie tout particulièrement les grands espaces, vides de préférence, mais affectionne également les paysages urbains dans toute leur complexité.
Cette photographie d’un passage au cœur de Sarajevo en Bosnie-Herzégovine a été prise dans le cadre d’un reportage photo “20 ans après la guerre”.
Claire de Molennaar est née et vit à Lens, dans le Pas-de-Calais. La photographie l’accompagne depuis très longtemps. Elle la pratique et l’étudie, son histoire et ses artistes l’emportent. Elle aime la démarche dans laquelle elle entre quand elle est derrière son appareil. Le noir et blanc est une façon pour elle d’harmoniser le monde, tout en cherchant des spécificités via la lumière. Elle aime les contrastes forts, les peaux laiteuses et le quotidien qui devient surprenant.
Auteur photographe, Helder Vinagre débute la photographie en 1978. Venu à la photographie de rue après une rencontre avec Robert Doisneau, il fonde le collectif Regards Parisiens constitué d’amis photographes ayant la même passion de la photographie de rue. Il expose ses photographies aussi bien avec les autres membres du collectif qu’à titre personnel. Il s’intéresse également au paysage urbain dont il recherche les points de lumière régulièrement dans le jour naissant urbain.
Ces 3 photographies représentent la place du Combattant, la place de la République et le parc Pinel.
Kremlinois depuis sa plus tendre enfance, Réno Violo a décidé il y a près de 20 ans de vivre de sa passion ; la photographie. Bien que spécialisé dans le portrait, le reportage événementiel et le corporate à titre professionnel, il aime aussi capturer paysages, scènes de rue ou documenter ses voyages à titre personnel.
Cette œuvre ci-présente a été prise au Kremlin-Bicetre, Place Jean-Baptiste Clément. Elle représente de manière graphique et insolite les façades respectives de l’emblématique médiathèque l’Echo et de l’immeuble seventies y faisant face avenue de Fontainebleau, avec une perspective et un cadrage inédits. Elle reflète l’évolution architecturale d’une ville toujours en mouvement et qui se réinvente sans cesse.
Diplômé de Penninghen, Thomas co-fonde à sa sortie d’école Dimanche Studio et Papier Magazine, première revue haut de gamme consacrée à l’illustration contemporaine. Après une année passée comme directeur artistique du pôle vidéo chez My Little Paris, il revient à Penninghen enseigner la photographie et la direction artistique. En 2017 il réalise le long métrage documentaire « Immergées », sur l’équipe de France de natation artistique et son parcours aux JO de Rio. Thomas organise également des ateliers photographiques. Sa pratique photographique mêle le reportage, le sport, l’art et la mode.
Cette œuvre est la première d’une série intitulée « Soif », sur notre rapport ambivalent à l’eau. L’œuvre finale est un diptyque, composé d’une vingtaine d’images individuelles. Le format, l’ambiance et les poses sont des références explicites aux tableaux mythologiques et religieux des 18ème et 19ème siècle. De loin, l’œuvre paraît reposante et calme, mais à y regarder de plus près, on découvre dans sa partie inférieure des tensions et des luttes. Notre rapport à l’eau est celui de dépendance et de gaspillage, de plaisir et de mort, d’abus et de vitalité.
Né en 1960, dessinateur projeteur de métier, Jean-Louis Maskali s’est pris de passion depuis quelques années pour l’art du photomontage. Créant ses œuvres à l’aide de ses propres clichés mais aussi, et surtout, de fragments chinés sur Internet, il cherche à éveiller les consciences tout autant qu’à divertir.
Avec lui, donnant libre cours à son imagination au travers d’une vision très souvent pessimiste de l’avenir, le spectateur voyage dans le temps et l’espace vers un futur plus ou moins proche. Il pénètre dans des univers décalés où des lieux bien connus se déclinent en d’étranges et surprenantes scènes.
Les grands problèmes de notre époque, les thématiques qui agitent l’air du temps (dérèglement climatique, mutations géopolitiques, progrès technologiques effrénés…) sont ses thèmes de prédilection.
Ce photomontage représente une perspective fictive sur l’ancienne entrée est de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre bordée par un littoral maritime où sont échoués sur le sable trois bateaux. Œuvre signée sur l’image en bas à droite ainsi que signée et numérotée au dos (1/15).
Né en 1987 à Paris, Alex Bonnemaison est membre de l’agence Hans Lucas et collabore avec la presse, les institutions, les associations et les entreprises depuis 2012. Photographe indépendant basé à Paris, il est spécialisé dans le reportage et le portrait.
Cette photographie représente un touareg dans l’Adrar (tirage 1/5). Le photographe nous invite à ralentir et à sortir de notre bulle, le temps d’un instant, pour éprouver à nouveau un sentiment de liberté mis à mal ces derniers temps. Tel un instant suspendu qui aspire à lever le pied et avoir plus de profondeur de champs dans nos vies alors même qu’on se trouve dans un tourbillon frénétique de production d’images.
Maggy Dago est une artiste kremlinoise franco-ivoirienne, féministe, activiste, photographe et consultante en informatique.Son travail de photographie se laisse guider par deux valeurs fondamentales qui sont la recherche nécessaire d’authenticité et de justice.
Maggy Dago aime partager sa vision du monde mais elle aime avant tout faire ressortir chez les gens ce qu’elle trouve de plus humain, de plus beau et de plus authentique. Elle aime quand les individus sont capables de montrer à la fois leurs vulnérabilités et leurs forces sans tabou. Sans qu’ils aient l’impression de faire quelque chose de valorisant ou au contraire de dévalorisant. Elle aime quand les gens ne craignent pas d’être jugés. C’est ce qu’elle aime photographier : l’humain dans son entièreté, la plus simple et la plus touchante.
Ce portrait fait partie de la série Fragments, une série qui rend hommage aux femmes noires et métisses. Dans cette série photographique, des femmes noires s’expriment, les audios sont à écouter sur le site de l’artiste.
De nature curieuse et passionnée, scientifique de formation et sensible à l’art sous toutes ses formes, la photographie est devenue un moyen incontournable pour exprimer ce que Benjamin Beaufils ressent et pour mieux se (re)connaître à travers elle. Fasciné par l’architecture urbaine, sa recherche photographique couvre tout type de constructions dans l’espace public et paysages suburbains qui souvent ne sont pas remarqués ou mis en valeur par l’observateur occasionnel. Son approche photographique met l’accent sur l’esthétique minimaliste où se confrontent formes et lignes, textures et couleurs. Maîtriser toutes ces informations dans une image, la réduire à l’essentiel sans oublier l’interaction de l’architecture avec tous les éléments de son environnement, telle est son intention photographique.
Ce tryptique de photos est issue d’une série prise au Kremlin-Bicêtre, dont l’objectif principal était de revenir à l’essentiel par une épuration de la composition et une simplification du langage visuel sans pour autant renoncer à l’histoire véhiculée par l’image. Une histoire qui ne peut s’écrire qu’avec l’aide de l’imagination de chacun, et qui sera donc différente d’une personne à une autre !
Né en 1991 à Amiens, David Décamps débute la photographie en 2013 alors qu’il vit à Palisades, village situé à quelques kilomètres au nord de New-York (États-Unis). Autodidacte, et adepte de photographie de rue, il se démarque par sa vision de l’art profondément humaine et résolument optimiste. Avec bienveillance et finesse, ses œuvres révèlent les détails oubliés de la vie, redonnant ainsi goût à l’émerveillement parfois perdu au sein d’un quotidien laissant peu de place à l’attention. David Décamps est également illustrateur.
Cette photographie en noir et blanc représente un homme marchant de profil devant un building New-Yorkais.
Tirage 1/30.
Inanis est un photographe kremlinois de 36 ans. Si son travail au quotidien s’articule toujours autour de l’humain dans ses portraits ou ses reportages, ses recherches artistiques ont souvent pour thème l’histoire : comme celle de la famille dans le cadre de son projet #génétique ou la grande Histoire avec son projet hommage au passé de la ville du Kremlin-Bicêtre.
C’est lors d’un projet nommé Dans Quel Monde Je Suis en 2015 que l’œuvre Port de Concarneau a été photographiée par Inanis. Ce projet était un Tour de France sur six mois, réalisé en Renault 4L et avait pour but d’aller à la rencontre des français. Ainsi chaque soir, il s’agissait de frapper à la porte d’inconnus, de leur demander le logement pour un soir, d’échanger avec eux et de réaliser leur portrait. Par extension, le projet a également permis de traverser les merveilleux paysages de l’hexagone.
Port de Concarneau est une œuvre qui au-delà de son premier regard esthétique souhaite questionner sur l’écologie. Non, il ne s’agit pas d’une vue du ciel d’un paysage naturel, mais d’une vue depuis le quai d’un rejet d’huile d’un chalutier dégradant l’eau du port.
Tirage 1/3
www.inanisphotographe.com
Anne Chargelègue est née à Poitiers en 1967, elle a grandi en Afrique et dans l’Océan indien. Arrivée à Paris en 1990 avec une formation de graphiste maquettiste, elle a été de 1993 à 1996 l’assistante de Roman Cieslewicz, artiste d’origine polonaise et de renommée internationale. Licenciée d’arts Plastiques en 1998, la peinture est la suite logique de sa réflexion.
Pour elle, les voyages, les aspects multiculturels des pays du sud où elle a vécu, restent toujours une source nécessaire et familière pour son inspiration.
Son travail utilise le papier et la toile, l’acrylique et le pastel, des collages, et renvoie des images qui rappellent des atmosphères vivantes, colorées et poétiques.
Né à Gdansk en Pologne en 1961, Witold Pyzik s’installe définitivement en France en 1985 après des études à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Poznan.
L’œuvre de Witold Pyzik est changeante, mouvementée, et la figure féminine apparaît inlassablement. C’est une femme aux traits imprécis et aux formes rayonnantes, à la fois inaccessible et palpable, tantôt transparente et tantôt gorgée de lumière.
Ce tableau représente une femme russe assise, vue de profil, nue, les bras levés dans les cheveux.
L’artiste Pikin’ a grandi en Guyane puis a vécu en Afrique pendant plusieurs années. Elle a puisé son inspiration dans ces environnements multiculturels. Le point commun à tous ses voyages et ses rencontres : les femmes. Quel que soit le pays où elle a vécu, elle a été marqué par la force, la détermination et le courage dont elles font preuve. Pikin’ espère transmettre, à travers sa peinture, l’admiration et la gratitude qu’elle porte aux mères, sœurs, filles du monde entier.
L’artiste Pikin’ a grandi en Guyane puis a vécu en Afrique pendant plusieurs années. Elle a puisé son inspiration dans ces environnements multiculturels. Le point commun à tous ses voyages et ses rencontres : les femmes. Quel que soit le pays où elle a vécu, elle a été marqué par la force, la détermination et le courage dont elles font preuve. Pikin’ espère transmettre, à travers sa peinture, l’admiration et la gratitude qu’elle porte aux mères, sœurs, filles du monde entier.
L’artiste Pikin’ a grandi en Guyane puis a vécu en Afrique pendant plusieurs années. Elle a puisé son inspiration dans ces environnements multiculturels. Le point commun à tous ses voyages et ses rencontres : les femmes. Quel que soit le pays où elle a vécu, elle a été marqué par la force, la détermination et le courage dont elles font preuve. Pikin’ espère transmettre, à travers sa peinture, l’admiration et la gratitude qu’elle porte aux mères, sœurs, filles du monde entier.
Khaled Guemroud est né en Grande Kabylie (Algérie). Après des Etudes d’art, il travaille dans les services culturels de la ville d’Alger tout en gardant une activité picturale indépendante. Il est dessinateur de presse dans divers quotidiens et hebdomadaires de 1989 à 1993, date à laquelle il arrive en France. Il reprend alors son activité d’artiste indépendant, participe à diverses expositions collectives, obtient un diplôme d’infographiste en 2002, collabore à la revue Nirvana et continue à travailler en free-lance dans divers domaines ayant trait aux arts graphiques : peinture à l’huile, aquarelles, portraits, sigles, maquettes. Il se spécialise dans la peinture figurative. Khaled Guemroud a toujours résidé au Kremlin-Bicêtre.
Originaire des Antilles Françaises, Catherine Rode découvre la peinture en Guadeloupe. Sa formation artistique a débuté par l’étude de l’histoire de l’art. S’en est suivi l’apprentissage de la peinture et du dessin, aux ateliers Beaux-Arts de la ville de Paris et du portrait à l’Académie de la grande chaumière. Elle a également effectué de nombreux stages en France et en Italie pour la pratique du paysage. Après une orientation vers une expression abstraite, elle opte pour la figuration, en raison de l’émerveillement que procure la nature qui fut, un temps, son sujet principal, et de son intérêt pour les scènes de la vie quotidienne. Catherine Rode cherche dans la peinture à faire dialoguer formes, couleurs, masses, mise en tension des proportions…
Sociétaire du cercle municipal des Gobelins et des Beaux-Arts, l’œuvre proposée a obtenu le premier prix, catégorie huile, au salon organisé par ce cercle en 2016.
Peindre fait inévitablement partie de la vie de Hubert Brinet. Cela donne pour lui la parole à ce qui est anodin, et lui octroie une existence, une réalité, donc un maximum de présence en travaillant l’œuvre jusqu’à ce qu’elle trouve sa musique, son harmonie ; qui attire celui qui regarde et l’entraîne dans la présence de l’œuvre.
Né en 1956 à Tibériade (Israël), Ruben Kakon a une enfance nourrie de musiques, de livres et de couleurs.
Il est diplômé de l’Ecole Spéciale d’Architecture de Paris.
Un jour sa femme lui offre un chevalet et des couleurs.
Il se met à peindre tout ce qui le meut et ce qui l’émeut. De l’architecture à la peinture il n’y a qu’un pas, le voilà franchi.
Cette œuvre est issue d’un lot de six toiles représentatives de l’évènement anniversaire des 125 ans de la ville peintes par Ruben Kakon pour cette occasion.
La richesse de l’œuvre de Juana Sabina Ortega réside dans sa capacité à capturer l’essence de l’environnement qui l’entoure et à l’exprimer à travers un subtil usage de symboles. Le thème de ses racines y est omniprésent, notamment celui de ses propres racines indigènes, qui apparaissent de manière récurrente.
Dans sa peinture, le détail occupe une place des plus importantes, chaque tableau recèle un monde surprenant dans lequel ce qui est petit et parfois caché, et aussi
signifiant que ce qui est grand et visible.
Cette œuvre intitulée Le rêve et le temps fait partie de la série “Refugios”, une série de peintures et de dessins dans laquelle l’artiste travaille depuis septembre 2018 où elle présente des mondes réfléchis à partir de rêves et de métaphores sur les relations humaines et le désir incessant de trouver un lieu sûr pour exister, un lieu que devient le propre corps. Dans cette œuvre le temps s’arrête, laissant place à la contemplation.
Kremlinoise depuis 2001, Caroline Hacker s’interesse à toutes les formes d’art. En effet, elle a débuté dès l’âge de 8 ans la peinture au sein des ateliers d’arts plastiques développés au sein du Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut à Villeneuxe d’asq. Elle a ensuite orienté sa peinture personnelle en axant son travail sur la représentation de la vie. Depuis peu, elle a rejoint les ateliers au sein de l’école des beaux arts de Villejuif.
Parallèlement à la peinture, elle s’est consacrée depuis 2011 à la sculpture en pratiquant la céramique. Elle pratique le piano, et, s’est vu l’obtention d’une médaille d’or au sein du conservatoire à rayonnement départemental de Roubaix en 1997.
L’œuvre se localise au métro ligne RATP 7 à la hauteur du Kremlin Bicêtre. Elle représente un joueur de tuba qui fait la manche et une voyageuse l’observant.
D’une enfance passée ailleurs, Dragana Pajovic garde la nostalgie et l’amour de l’histoire, son œuvre en est empreinte. Artiste polyvalente, elle s’exprime par la peinture et l’écriture, suit les conseils du professeur d’arts qui la motive à continue dans cette voie et y intègre les cours de dessin, se nourrie de l’histoire de l’art parcourant les musées, arpentant les galeries. Elle y expose, ainsi qu’à Belgrade, sa ville natale, au musée national, au centre culturel serbe à Paris, au Carrousel du Louvre, au Grand Palais, à Deauville. Sa palette reflète sa douceur, les mouvements de son énergie, la profondeur de son âme se mire dans les expressions des figures d’une exigence poussée au paroxysme. La poésie et la danse se mêlent aux formes et couleurs pour donner sens, lumière et émotion.
Ce tableau représente deux clés anglaises (une masculine et une féminine) en forme humaine qui dansent enlacées sur fond bleu-gris alors que la clé masculine est posée sur un socle noir et fait tournoyer sa partenaire.
Autodidacte, Yaël commence à dessiner et peindre très jeune. Elle aime avant tout manipuler différentes textures telles que l’acrylique, le pastel sec, le pastel à l’huile, le fusain, l’aquarelle, dont elle apprend les techniques sur YouTube ou dans les livres qu’elle emprunte à la médiathèque du Kremlin-Bicêtre. Son inspiration lui vient des cinq sens : la vue, le toucher, l’ouïe, l’odorat, le goût.
L’intérêt d’Ismet Baba Ahmed pour la peinture remonte au collège dans les années 1960, où il excellait en dessin. En 2012, alors qu’il prend sa retraite après une carrière administrative classique, ses collègues lui offrent un équipement complet de peinture. Il se consacre depuis à cette passion. Amoureux de la nature et des beaux paysages qu’il a découverte et apprécié au cours de ses nombreux voyages, Ismet Baba Ahmed a naturellement puisé son inspiration dans cet univers.
Cette peinture est un paysage représentant une canalisation d’eau destinée à l’arrosage de vergers traversant un village au sein d’une oasis dans le sud algérien.
Poète des couleurs, Gilles Saffar est un graphiste qui cherche à enchanter le monde dans lequel nous vivons. Formé aux arts graphiques du pastel, de l’aquarelle et de l’acrylique, il a pu trouver à travers le numérique des techniques picturales qui magnifient et illuminent les rendus et les textures de ses œuvres. Les épreuves de la vie ont créé en lui un besoin vital de couleurs. Ses émotions aux couleurs multiples jaillissent à travers le stylet de sa tablette graphique. Il aime partir du réel pour enchanter un univers onirique et poétique, et s’aventurer dans des thèmes universels tels que la nature, les voyages, les rêves ou la spiritualité.
Beatriz Moya est une artiste peintre franco-espagnole. Elle est lauréate du Premier Prix d’Arts Plastiques en juin 2011 délivré par la Chambre Officielle de Commerce d’Espagne en France et le Colegio de Espana à Paris.
L’univers de Beatriz Moya explore un monde de lumière et de passion. L’artiste crée des œuvres nourries de références à la fois culturelles et personnelles. Elle adresse au spectateur sa propre vision de la vie, à la fois harmonieuse et humaniste.
Cette série d’encre est un hommage à la femme, en réaction aux violences faites aux femmes.
Marc Falaux est né à Paris en 1956 et mort en 2020 à l’âge de 63 ans. Autodidacte, très jeune il se met à peindre, Il explore les mondes de la couleur et de la géométrie, son style est l’art abstrait.
Atteint d’une maladie incurable qu’il découvre à l’âge de 38 ans, il se sait en sursis et délivre ses peurs sur ses toiles. Hypersensible et solitaire, sa peinture est le reflet de sa philosophie.
Un homme écorché vif avec beaucoup d’humour et de bienveillance. La peinture fut pour lui un exutoire, un remède, un mode de vie dans lequel il a trouvé sa force.
Jolanta Anton est diplômée en gravure et graphisme de l’École des Beaux-Arts de Wroclaw en Pologne. Sa formation a été axée sur les arts graphiques, la conception et la photographie. Son travail se concentre sur la gravure (eau-forte, aquatinte, pointe sèche) et le dessin.
Dans son travail, elle présente des moments, des lieux ou des émotions qui l’ont marquée en raison de leur caractère unique. Aux frontières de l’abstraction et du figuratif, de la réalité et du rêve, Jolanta Anton nous invite à porter un regard neuf sur le monde, à redécouvrir la puissance créative de la nature.
Bich, Rosalie Nguyen est une artiste franco-vietnamienne. Son approche de l’art s’est nourrie de ses études à l’Ecole Estienne et aux Beaux-Arts de Paris. La gravure est un métier exigeant, et Bich l’a apprise dans les ateliers Moret qui sont une référence dans ce domaine.
Ses projets de gravures naissent d’un choc émotionnel. Le travail de recherche, de la mise en forme et de l’espace à créer est long, intense et difficile. Vient le temps de la réalisation et des corrections multiples pour enfin décider et admettre que la gravure est achevée. Ses gravures se veulent être un baume pour les âmes heurtées. Elles s’adressent aux amoureux des sillons qui tracent leur chemin.
Cette gravure “Siyphora” représente une figure féminine de dos debout sur un rocher, regardant les montagnes de l’Himalaya.
Nicolas Pyzik est concepteur-rédacteur, éditeur vidéo et illustrateur.
Le dessin a toujours été un fidèle allié dans sa façon de concevoir des projets. Jonglant avec formes et concepts, il essaye d’illustrer le mot juste à cheval entre plusieurs niveaux de lecture. Le regard du spectateur doit voyager, découvrir, résoudre et comprendre… Parfois synthétique, parfois alambiqué, le résultat est le fruit d’une alchimie qu’il souhaite rendre universelle.
Ce dessin est polysémique et hybride : main dans la main, tout est possible.
Flowink Myst est le pseudo de Myrto Stathatou, illustratrice grecque, professeure d’arts appliqués et kremlinoise depuis 2020.
Son parcours professionnel d’architecte et infographiste 3D a exercé sur elle une fascination pour les arts visuels et l’espace urbain, qu’elle mêle dans son travail et ses créations personnelles. Son univers se compose principalement de dessins d’architecture et design, de portraits et d’illustrations lifestyle destinées aux architectes et aux maisons d’édition et de presse.
Le style de Flowink Myst est rétro réaliste contemporain. Portant une attention particulière aux petits détails et sensible aux jeux de lumière, elle emploie des techniques d’illustration architecturale à l’ancienne, qu’elle juxtapose à des sensibilités modernes, afin de transmettre des messages contemporains.
Ses illustrations sont produites sur support numérique, cependant ses techniques sont très semblables aux techniques traditionnelles (crayons, aquarelle, encre, etc.).
Flowink Myst est le pseudo de Myrto Stathatou, illustratrice grecque, professeure d’arts appliqués et kremlinoise depuis 2020.
Son parcours professionnel d’architecte et infographiste 3D a exercé sur elle une fascination pour les arts visuels et l’espace urbain, qu’elle mêle dans son travail et ses créations personnelles. Son univers se compose principalement de dessins d’architecture et design, de portraits et d’illustrations lifestyle destinées aux architectes et aux maisons d’édition et de presse.
Le style de Flowink Myst est rétro réaliste contemporain. Portant une attention particulière aux petits détails et sensible aux jeux de lumière, elle emploie des techniques d’illustration architecturale à l’ancienne, qu’elle juxtapose à des sensibilités modernes, afin de transmettre des messages contemporains.
Ses illustrations sont produites sur support numérique, cependant ses techniques sont très semblables aux techniques traditionnelles (crayons, aquarelle, encre, etc.).
Designer et coloriste de métier dans une précédente phase de sa vie, Geneviève Sengissen poursuit aujourdhui des recherches de couleurs, composition et matériaux en s’inspirant de la nature. Son but est de produire des compositions colorées, utilisant les ramifications et structures du végétal pour inspirer des pensées joyeuses et changeantes. Elle produit des motifs à partir d’encre, de feutre, qu’elle découpe. Elle travaille des fonds et matières pour la composition. Elle réunit des tissus, des petits bouts de matières brillantes et colorées (plastiques, motifs créés en fimo, balsa peint, papiers colorés) qu’elle réinvestit, recycle dans ses tableaux.
Cette recherche se développe sur les cadres toilés, comme cette pièce, mais aussi sur des carnets et des cahiers de collage. Ces créations permettent de faire vivre un espace onirique et ouvert où le regard peut construire ses propres significations et imaginaires.
ALAgrApHY est un artiste (peintre, photographe et réalisateur) et scientifique (PhD en systèmes complexes, Data Scientist et expert en intelligence artificielle). Il génère des mosaïques composées de milliers de visages uniques.
Cette mosaïque de la femme contemporaine est composée de tout ce qui peut décrire une femme d’aujourd’hui. Des images des femmes, des hommes, des animaux sauvages, des enfants… L’artiste est l’auteur de toutes les images.
Diplômée de l’école Met De Penninghen à Paris en qualité de concepteur graphiste, Claire Galopin devient directrice artistique en agence de communication. Elle suit ensuite une formation en décor céramique au lycée Auguste Renoir. Son art devient pluridisciplinaire, enrichi par les différents ateliers de modelage qu’elle fréquente aux côtés de Michèle Fischer et Augusto Tozzola.
De là naît une passion chevillée à la terre où s’entremêlent sculpture, graphisme et matière. Entre figuration et abstraction, ses créations révèlent l’esprit de la matière. Elles nous interrogent sur la part divine qui relie l’homme à la nature.
Né en 1960, dessinateur projeteur de métier, Jean-Louis Maskali s’est pris de passion depuis quelques années pour l’art du photomontage. Créant ses œuvres à l’aide de ses propres clichés mais aussi, et surtout, de fragments chinés sur Internet, il cherche à éveiller les consciences tout autant qu’à divertir.
Avec lui, donnant libre cours à son imagination au travers d’une vision très souvent pessimiste de l’avenir, le spectateur voyage dans le temps et l’espace vers un futur plus ou moins proche. Il pénètre dans des univers décalés où des lieux bien connus se déclinent en d’étranges et surprenantes scènes.
Les grands problèmes de notre époque, les thématiques qui agitent l’air du temps (dérèglement climatique, mutations géopolitiques, progrès technologiques effrénés…) sont ses thèmes de prédilection.
Ce photomontage représente une perspective fictive sur l’ancienne entrée est de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre bordée par un littoral maritime où sont échoués sur le sable trois bateaux. Œuvre signée sur l’image en bas à droite ainsi que signée et numérotée au dos (1/15).
Ce masque facial en bois et pigments vient de Côte d’Ivoire. Il s’agit d’un objet de remplacement potentiellement fabriqué par le même sculpteur, alors que l’original a été vendu, récolté, volé ou détruit. Cet objet a servi.
Le visage ovale de ce masque Baoulé est ceint d’une collerette dentelée qui l’encadre et le magnifie, et terminé par un petit tenon. Les arcs sourciliers en demi-cercles se rejoignent au sommet de l’arête nasale marquée de deux scarifications en relief, annonçant le nez finement ciselé. La petite bouche est prognathe. Les yeux plissés fendus sont rehaussés de pigments blancs. Des scarifications rythment les tempes.